Les journalistes sont-ils des salauds?
Ou tout simplement n'existent-ils plus?
La question mérité d'être posée; les émeutes récentes (et dont on ne peut pas dire qu'elles sont terminées) ont encore vu apparaître dans la presse un certain nombre de "facilités" complaisamment colportées. Je vais ici me limiter aux grands médias et aux gros titres.
Dans les raisons avancées (et soufflées par une gauche qui ne songe qu'au pouvoir), la suppression des subventions aux associations de "terrain"; mais pas un mot des budgets qui ont été débloqués en remplacement.
Si quelque chose ne marche pas, il faut en tirer des conclusions et chercher autre chose. Et en quoi ces associations (je ne me permet pas de douter de leur bonne volonté), ces subventions auraient-elles évité ces évènements?
Nous avons remarqué une attitude identique à propos de contrats "Villepin". Il a fallu un arrêt du conseil d'État pour rétablir la vérité; "on" (la presse, une certaine presse) avait tout simplement occulté le fait que ces contrats ne s'adressaient qu'aux entreprises de moins de 20 salariés).
Sarkozy est le grand responsable; tiens? Mais de quand datent ces paroles qui suscitent la colère? On peut parler donc de colère froide... ou réchauffée! Est-il responsable des affrontements inter-raciaux de Birmingham? Des émeutes américaines?
Il me parait que les causes multiples se doivent d'être analysées et que l'utilisation des ces évènements pour "marquer" des points, enfoncer un adversaire politique est tout simplement dangereuse. Peu sont dupes et voilà qui va renforcer la confiance des français envers leur classe politique, envers les médias.
Je vous rappelle que je parle de grands médias et de gros titres; parce qu'en cherchant bien, on a pu lire ou entendre ça et là des choses intéressantes; mais à quelle heure? Et accessibles à combien de gens? (je veux parler d'horaires, du temps nécessaire à une information à peu près correcte)
Des voix existent, s'expriment mais sont inaudibles pour le plus grand nombre; et cela fausse indiscutablement la possibilité d'une vision claire, cela fausse la démocratie.
La question mérité d'être posée; les émeutes récentes (et dont on ne peut pas dire qu'elles sont terminées) ont encore vu apparaître dans la presse un certain nombre de "facilités" complaisamment colportées. Je vais ici me limiter aux grands médias et aux gros titres.
Dans les raisons avancées (et soufflées par une gauche qui ne songe qu'au pouvoir), la suppression des subventions aux associations de "terrain"; mais pas un mot des budgets qui ont été débloqués en remplacement.
Si quelque chose ne marche pas, il faut en tirer des conclusions et chercher autre chose. Et en quoi ces associations (je ne me permet pas de douter de leur bonne volonté), ces subventions auraient-elles évité ces évènements?
Nous avons remarqué une attitude identique à propos de contrats "Villepin". Il a fallu un arrêt du conseil d'État pour rétablir la vérité; "on" (la presse, une certaine presse) avait tout simplement occulté le fait que ces contrats ne s'adressaient qu'aux entreprises de moins de 20 salariés).
Sarkozy est le grand responsable; tiens? Mais de quand datent ces paroles qui suscitent la colère? On peut parler donc de colère froide... ou réchauffée! Est-il responsable des affrontements inter-raciaux de Birmingham? Des émeutes américaines?
Il me parait que les causes multiples se doivent d'être analysées et que l'utilisation des ces évènements pour "marquer" des points, enfoncer un adversaire politique est tout simplement dangereuse. Peu sont dupes et voilà qui va renforcer la confiance des français envers leur classe politique, envers les médias.
Je vous rappelle que je parle de grands médias et de gros titres; parce qu'en cherchant bien, on a pu lire ou entendre ça et là des choses intéressantes; mais à quelle heure? Et accessibles à combien de gens? (je veux parler d'horaires, du temps nécessaire à une information à peu près correcte)
Des voix existent, s'expriment mais sont inaudibles pour le plus grand nombre; et cela fausse indiscutablement la possibilité d'une vision claire, cela fausse la démocratie.
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